L’intérêt des méthodes qui vont être proposées maintenant
ne peut être compris qu’une fois admis que l’on ne sait pas ses chants autant qu’on l’imagine. La connaissance précise
d’un chant est finalement une chose fragile ; et c’est tant mieux, car c’est
cela qui va permettre de nous faire entrer dans une connaissance plus profonde,
tout en faisant largement évoluer notre interprétation.
Comme le dit Jean Gabin : Maintenant je sais
Quand j'étais
petit, haut comme trois pommes
Je parlais bien fort... pour être un homme
Je disais: "Je sais, je sais... je sais"
…
Je parlais bien fort... pour être un homme
Je disais: "Je sais, je sais... je sais"
…
Maintenant, je
sais... Je sais qu'on ne sait jamais
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