Nous reprenons ce jeudi 22 septembre 2016 à Evry (si vous n'êtes pas disponible venez dès le jeudi suivant)
Toutes les informations sont sur NOTRE SITE
Venez nombreux !
Pour notre SITE cliquez sur
http://essonnances.net/
Reprise des répétitions le jeudi 20 septembre 2018
.

mercredi 21 septembre 2016
samedi 17 septembre 2016
Fête des association à Evry : c'est ce dimanche 18 septembre

ESPACE SAVEURS DU MONDE
• Spécialités culinaires des cinq continents.
ESPACES INITIATIONS
• Travail du bois • bridge • jeu théâtral • logiciels informatiques • djembé • gestes de premiers secours et utilisation d’un défibrillateur • expériences scientifiques.
ANIMATIONS
• Trampolines multipistes pour enfants • saut à l’élastique (sous réserve) • mini brocante • mini carnaval.
PODIUM
• Vous pourrez saluer le travail mené tout au long de l’année par plusieurs associations de la ville à travers leurs démonstrations de chants, danses et musiques du monde.
mercredi 14 septembre 2016
La première condition du chant choral
La première condition du chant choral ou petite bafouille en guise de prélude à l’année
chorale
Notre CA s’est réuni hier pour préparer la rentrée.
Nous avons eu une discussion au sujet de l’apprentissage des chants,
apprentissage dont la nécessité échappe parfois à certains choristes. C’est
pour moi l’occasion de proposer la mise au point qui suit.
La première condition du chant choral c’est que chaque choriste
connaisse sa partie (avant de se rendre à la répétition), c’est-à-dire qu’il
soit capable de la chanter, soit seul, soit aidé par un accompagnement. C’est chez lui (ou dans le RER…), à partir des
enregistrements de travail (réalisés à cet effet), que le choriste doit
effectuer ce travail basique d’apprentissage ;
il ne doit pas compter, pour cela, sur les répétitions. Car l’objet des
répétitions est tout autre : apprendre aux choristes à mettre leurs voix
ensemble ; or si je ne connais pas ma partie, ou si je la connais trop
insuffisamment, il y a encore moins de chances que je sache la chanter en même
temps que les autres voix.
Bref, on ne vient pas en répétition pour apprendre
sa partie, mais parce qu’on la sait
et parce que c’est à partir de là – et de là seulement – qu’il est possible au
chef de chœur d’essayer de construire la
polyphonie.
Bien sûr, tout au début de l’apprentissage (lors de la
première répétition d’un chant) le chef de chœur n’attend pas que le chant soit
parfaitement connu de chacun pour commencer de tenter de mettre les voix
ensemble : c’est parce qu’il souhaite donner une première idée aux
choristes de ce que le chant en question peut donner et ainsi les encourager à
apprendre réellement leur partie. Mais très rapidement, si possible dès la répétition
suivante, il faut que chacun ait fait l’effort de bien apprendre sa partie pour
que la mise en œuvre polyphonique commence à donner un résultat intéressant.
D’ailleurs, à partir de ce moment, chacun pourra
observer une chose plutôt inattendue : on constate que sa propre
connaissance du chant évolue, que l’on commence à s’en faire une nouvelle idée
et, finalement, qu’un chant que l’on croyait pourtant commencer à bien connaître
présente aussi d’autres visages insoupçonnés jusqu’alors. C’est là que l’on
commence à entrer dans une connaissance véritablement approfondie d’un chant et
que l’on devient capable d’en apprécier toutes les richesses et toute la
profondeur. On voit bien que cela ne se fait pas en une seule fois ; alors
plus tôt on s’y met et plus on se donne de chances d’accéder à un vrai bonheur
musical. Dans le cas contraire, on risque de ne jamais sortir d’un pénible et
interminable exercice de déchiffrage ; avouez que c’est vraiment dommage quand
on sait ce que l’on peut vivre dans un concert, lorsqu’on s’est bien préparé et
que l’on s’est donné tous les moyens de s’exprimer avec la plus grande passion !
Bon travail les choristes !
lundi 29 août 2016
Venez chanter avec Essonnances
Vous en rêviez,
peut-être depuis l’enfance :
La chorale Essonnances
est prête à vous accueillir,
Et ses choristes à
vous donner confiance
Dans le travail comme
dans les fous-rires !
Nos répétitions reprennent à
Évry Village le jeudi 22 septembre 2016
au 9 avenue de l’église
Ça n’est pas très loin de chez vous si vous habitez non
seulement Évry, mais aussi Soisy-sur-Seine, Étiolles, Ris Orangis,
Courcouronnes, Lisses, Bondoufle, Corbeil-Essonnes, Saint- Germain-lès-Corbeil,
Saint-Pierre-du-Perray,…
Soyez les bienvenus le jour de la reprise ; d’ici là vous
pouvez vous documenter sur notre site :
Vous pouvez aussi m’appeler au 01 64 97 56 11 ou bien venir
nous voir sur le stand de la fête des associations d’Évry le dimanche 18
septembre 2016 – devant la Mairie.
Michel Raquillet
Chef de chœur
vendredi 8 juillet 2016
Le chant choral : place aux défis !
Chanter en chorale cela comporte de
nombreux aspects : c’est bon pour la santé, pour le moral, pour la
mémoire, cela crée des liens, etc.…Il y a peut-être aussi un aspect auquel on
pense moins : chanter en chorale est
un défi.
Ce n’est peut-être pas un hasard
si je rédige ces notes au lendemain de la victoire de l’équipe de France en
demi-finale de l’Euro, tant la perspective de rencontrer l’Allemagne, meilleure
équipe du monde, ne pouvait être pour les Bleus qu’un de ses plus grands
défis !
J’ai déjà eu l’occasion de
rappeler à mes choristes que le chant avait quelque chose d’un sport : apprentissage,
discipline, préparation, entraînement, régularité, contrôle du corps, etc.
Certes les choristes ne visent rien qui ressemble à des compétitions ; ils
ont néanmoins des concerts à préparer et cela les amène à se confronter à bien
des défis, individuels et collectifs.
Individuellement d’abord. S’engager
dans une chorale n’a rien d’une chose évidente ; beaucoup y ont déjà
pensé, quelquefois durant des années, avant d’oser finalement franchir le pas.
Mais une fois arrivés dans le groupe quelques inquiétudes se font rapidement
jour : vais-je faire correctement ce qui est demandé ? Est-ce que je chante
comme il faut ? Ma voix ne va-t-elle pas déranger mes voisins ? Vais-je
arriver à m’y retrouver avec cette partition à laquelle je ne connais rien ?
Serai-je prêt le jour du concert ?
Collectivement maintenant. L’union
fait la force, certes, il n’empêche que rien n’est gagné d’avance ! Il
faut arriver à faire confiance à ses voisins de pupitre, à faire confiance aux
autres pupitres – même si par moment l’un ou l’autre n’est pas dans sa
meilleure forme ; et il faut évidemment arriver à faire confiance au chef
de chœur. Combien de fois n’ai-je pas proposé à mes choristes des morceaux soit
qui leurs semblaient d’emblée hors de portée pour notre chorale, soit que les
premières répétitions (voire même davantage) semblaient promettre à un
apprentissage laborieux ? Bref, ce n’est pas toujours le cas, mais il est
fréquent qu’un choriste se demande s’il sera prêt pour le jour du concert !
Ce ne sont que quelques exemples
de ce qui se présente pour les choristes comme un défi à relever ; dès
lors il n’est pas étonnant que lorsque l’on sort d’un concert bien réussi on
éprouve un grand sentiment de satisfaction, bien sûr parce que l’on a produit
une chose vraiment belle, mais aussi parce que l’on a relevé de sacrés défis –
chose que, dans l’enthousiasme partagé, on aurait presque déjà oubliée…
dimanche 19 juin 2016
mercredi 16 mars 2016
Notre prochain concert
Concert de chant choral au profit de Retina France
"Opération Mille choeurs pour un regard"
La chorale Essonnances d'Évry et l’Ensemble Choral de Corbeil-Essonnes ont le plaisir de vous convier au concert qu'ils donneront le :
Le 9 avril 2016 à 20h30
en l'Église du Sacré Coeur 36 rue Pierre Brossolette - Ris Orangis
Entrée gratuite ; libre participation.
Renseignements : http://essonnances.net/
Quatre bonnes raisons d’observer une bonne posture
Avec le printemps revient aussi la saison des
concerts ; alors un premier conseil : avant même de chanter, penser
en tout premier lieu à sa posture.
Je vois quatre bonnes raisons d’observer une bonne
posture : mon public, mon corps, mon souffle, ma voix.
Je me maintiens dans une bonne posture :
pour le public et le chef de chœur : tous deux
doivent voir mes yeux
pour mon corps : afin qu’il reste en suspension,
sans aucune tension parasite et qu’il ne fatigue pas
pour mon souffle : afin que ma respiration soit
calme et profonde, et que rien ne l’entrave
pour ma voix : afin que sa source vibre librement,
fasse que le corps résonne et que celui-ci, à son tour, rayonne
samedi 23 janvier 2016
« À pleine voix » : 5 conférences en 2016 à la BNF et sur France Musique
Un mardi par mois (18h30 - 20h), de janvier à juin 2016, l'émission À pleine voix de Karine le Bail vous donne rendez-vous au Petit auditorium de la Bibliothèque national de France pour un enregistrement en public. Au cours de ce nouveau cycle, de l’opéra à la chanson en passant par le beatbox et le scat, tout ce qui « fait chant » sera exploré. Première session le mardi 26 janvier 2016.

Après 20 années à explorer les voix du passé dans ses Greniers de la mémoire, Karine le Bail vous propose d’entrer dans la « fabrique de la voix ». Comment la travaille-t-on ? Comment l’enregistre-t-on ? Comment la caractérise-t-on ? Comment la soigne-t-on ? Que nous en dit la littérature, des grands mythes aux écrits contemporains?
À travers une série de questions relevant de l’histoire, de l’esthétique, de l’anthropologie mais aussi de l’acoustique et des neurosciences, Karine Le Bail interroge la voix dans ses relations à l’espace – sa mise en matière, sa mise en lieu, sa mise en milieu – au cours de six ateliers publics faisant la part belle à l’expérience auditive et à l’expérimentation grâce au concours de chanteurs, de comédiens, de compositeurs et de metteurs en scène mais aussi de musicologues, d’acousticiens et d’ingénieurs du son. Un temps sera réservé à unéchange entre artistes et public.
Ces conférences seront diffusées sur France Musique le samedi suivant chaque rencontre, à 16h dans l’émission « À pleine voix ».
Au programme :
Mardi 26 janvier - 18h30 à 20h :
La voix médiatisée
Les canons de la voix lyrique au regard de l’enregistrement et de l’écoute médiatisée.
Autour de la collection Charles Cros.
Autour de la collection Charles Cros.
Séance avec le département de l’Audiovisuel de la BnF.
Mardi 9 février - 18h30 à 20h :
Travailler les voix d’enfants
Avec la Maîtrise de Radio France et Sofi Jeannin.
Le parlé-chanté dans l’opéra-comique.
Autour de Fantasio de Jacques Offenbach programmé à l’Opéra Comique en janvier 2017.
En présence du metteur en scène Thomas Jolly, de Jean-Christophe Keck, des chanteurs de la production, d’Agnès Terrier.
Séance avec le département de la Musique de la BnF.
Mardi 5 avril - 18h30 à 20h :
Transformer la voix
Autour de Kein Licht de Philippe Manoury (commande de l’Opéra Comique).
En présence de Philippe Manoury, de chanteurs de la production et des ingénieurs de l’Ircam qui feront une démonstration des logiciels de transformation, de traitement et de spatialisation en temps réel de la voix.
Mardi 17 mai - de 18h30 à 20h :
Sonoriser la voix
Autour des nouveaux dispositifs de sonorisation de la voix au théâtre et dans la musique classique.
En présence de Maxime Pascal et de son ensemble Le Balcon, de l’acousticien Brian Kats, directeur de l’équipe «audition et acoustique» du LIMSI et de Marie-Madeleine Mervant-Roux.
Séance avec le département Arts du spectacle de la BnF et en collaboration avec l’ANR Echo
Mardi 21 juin - de 18h30 à 20h :
Fête de la voix
Autour des nouveaux solfèges de la voix.
Avec des artistes de la scène Beatbox (le cornettiste Médéric Collignon, le tubiste et beatboxer Jean-Baptiste Renaux), slameurs, rappeurs.
___________________________________________________________
Parkings publics payants à proximité, rue Émile Durkheim et rue Abel Gance.
Métro : Lignes 6 (Quai de la gare), 14 et RER C (Bibliothèque François-Mitterrand)
Bus : Lignes 89, 62, 64, 132 et 325
Métro : Lignes 6 (Quai de la gare), 14 et RER C (Bibliothèque François-Mitterrand)
Bus : Lignes 89, 62, 64, 132 et 325
Entrée libre
mardi 12 janvier 2016
Le geste du choriste : un inconnu en technique vocale ?
Le geste ne serait-il pas un inconnu au bataillon
des concepts du chanteur ?
J’ai eu vraiment l’impression de surprendre mes
choristes en leur disant récemment que l’origine du chant, dans le corps,
c’était le geste.
Il y a peut-être au moins 2 raisons à cet
étonnement.
Raison n° 1
On nous a tellement dit que le chant c’était du son
que l’on a spontanément du mal à penser que ce que nous devons demander à notre
corps de fabriquer ce n’est pas un son
mais un geste. Et ce geste lui,
ensuite, en conséquence, engendrera un son ; il doit en être la véritable
cause. Notre esprit commande le geste et le geste engendre le son. En fait,
nous devons assister à la production
de la vibration et du son par notre corps, mais de façon passive. Ce n’est pas
sur le son que nous agissons mais, par des gestes
internes, sur les différentes parties de notre corps qui peuvent être
mobilisées pour le produire et le moduler.
Raison n°2
Nous venons de dire : gestes internes. En effet nous sommes en général plutôt habitués à
entendre le mot geste être utilisé
pour désigner les gestes de la main ou de la tête ; et plus généralement
des gestes de notre corps visibles
extérieurement.
Le geste vocal,
tout au contraire – et c’est bien pour cela qu’il reste largement méconnu – est
un geste interne donc essentiellement invisible. Il mobilise principalement des
muscles qui vont du ventre à la tête et l’art du chant consiste à apprendre ces
différentes mobilisations ainsi que leurs coordinations.
Ajoutons que cela se fait sous le contrôle des
perceptions internes ou propres (on parle de la proprioception), des fameuses sensations
– selon le terme employé par les chanteurs – et très peu, en tout cas d’une
façon très secondaire, sous le contrôle de l’oreille ; car l’oreille
entend le son, certes, mais elle n’entend pas le geste (en tout cas d’une autre
façon – indirecte – et pas avant un long apprentissage). D’ailleurs au moment
où l’oreille entend le son, il est trop tard pour corriger un geste qui
n’aurait pas été bien réalisé !
*
Ce que nous venons de dire du geste par rapport à la
production du son dans le chant est tout aussi vrai dans le cas de la musique
instrumentale. L’interprète qui produit des sons avec son instrument actionne
celui-ci au moyen de gestes, gestes produits par ses doigts, ses mains, ses
lèvres, sa langue, son souffle, tous ces organes agissant soit directement sur
l’instrument, soit par l’intermédiaire d’un archet ou de baguettes ; de
telle sorte que chaque geste ou chaque ensemble de gestes aboutit à la
production de son.
*
Une conséquence que nous devons tirer de ces
considérations est la suivante : la conduite d’un chef de chœur ou d’une
chef d’orchestre doit être pensée en
direction des gestes des musiciens, et non en direction des sons que
ceux-ci ont à produire. Or puisque d’une façon générale le geste déclencheur précède le son produit, le geste du chef
devra anticiper – plus ou moins
largement selon les cas – sur le moment
de démarrage du son proprement dit.
*
Enfin, profitons de ces remarques pour préciser que,
contrairement à une conception traditionnelle, on ne peut considérer le corps
du chanteur comme un instrument, dans le sens où le chanteur disposerait de son
corps comme l’instrumentiste dispose de son instrument. Il est bien évident que,
contrairement à l’instrument de musique, le corps du chanteur ne lui est pas
extérieur, il ne lui est même pas étranger : il est son propre corps. Du coup cela rejoint l’idée que les gestes du
chanteur ne sont pas extérieurs mais sont, à
la fois, et ce que produit son corps, et ce qui agit sur ce même corps.
À suivre
mardi 5 janvier 2016
Vœux 2016 pour une chorale
Si je devais formuler des vœux pour notre chorale, je
dirais évidemment d’abord que je souhaite qu’elle continue d’être un vrai lieu
d’accueil, de rencontre, de tissage de liens : tellement de choses peuvent
se partager à travers le chant et la musique ! Mais soyons aussi
concrets et même techniques : pour l’année qui vient, je propose que nous
prenions une résolution pour un effort qui devrait sûrement porter de beaux
fruits : apprendre à bien
démarrer nos phrases. C’est un élément qui fait très souvent une grande
différence de qualité d’une chorale à l’autre.
Mais ce progrès ne se fait pas sans méthode, et il me
semble qu’un élément clef est une bonne interprétation du geste du chef. C’est
pourquoi ceux qui veulent approfondir cette question se rendront à l’article
suivant où il est principalement question de geste : geste extérieur du chef et geste
intérieur du choriste ; comment penser l’articulation des deux ?That
is the question.
**
Je commence par une remarque : le jour de l’an,
nous connaissons ces célèbres concerts diffusés à la télé dans toute l’Europe,
par exemple le Concert du Nouvel an au Musikvereinde Vienne et le Concert du
Nouvel an à la Fenice de Venise – voir celui de ce 1er janvier.
Regardez ces chefs : ils entonnent souvent de
vigoureux morceaux, capables de soulever des foules dans la torpeur de
l’hiver…Mais regardez leur premier geste, leur première attaque ;
remarquez-vous quelque chose ? Si vous comparez attentivement la fin de la
descente de leur bras et le son de l’orchestre, ne vous est-il jamais arrivé de
vous étonner d’un décalage ?
Le son n’arrive qu’après ;
avec un retard. Mais ce
n’est ni un effet d’optique ni un effet acoustique ! Le son arrive vraiment après que le geste soit terminé ! Alors
pourquoi ? Et pourquoi y aurait-il lieu de s’en étonner ?!
**
Il faut s’étonner de ce que le son produit par les musiciens –
instrumentistes ou chanteurs – arrive après
le geste du chef, et non en même
temps.
Il
faut s’en étonner car, en fin de compte, ce n’est pas ce qu’on a appris en
cours de solfège, là où l’on apprend à battre
la mesure en même temps que l’on chante les notes dans l’ordre prévu par la
partition ; le geste doit tomber en
même temps que l’on passe la barre de mesure !
Il
faut en conclure que le chef ne fait pas la même chose que le solfégiste, ni même
– exemple pour nous plus immédiat – que le chanteur qui bat la mesure pour lui-même ! Car le chef bat la
mesure pour autrui et son geste a au
moins une autre fonction que celle de se
donner une pulsation : c’est celle de faire signe. Et de faire signe pourquoi ?
Pour
que les chanteurs, à leur tour, produisent des gestes.
Mais
est-ce bien ainsi que les choristes interprètent les gestes du chef ?
samedi 2 janvier 2016
Concert du Nouvel An 2016 à la Fenice de Venise Arte 2016
Concert
du Nouvel An à La Fenice de Venise
Nadine Sierra (soprano),
Celso Albelo (ténor), orchestre et chœurs du Teatro La Fenice
dir.
James Colon
G.
Verdi, Il trovatore, “Chi del gitano”
G. Rossini, Il viaggio a
Reims, Ouverture
G. Verdi, Rigoletto, “La
donna è mobile”
G. Puccini, Gianni Schicchi,
“Oh mio babbino caro”
G. Verdi, I Vespri
siciliani, Ouverture
Johann Strauss, Quadrille du
bal masqué
G. Donizetti, L’elisir
d’amore, “Una furtiva lagrima”
C. Gounod, Roméo et Juliette
“Je veux vivre”
G. Verdi, Nabucco, “Va
pensiero”
G. Verdi, La traviata,
“Libiam ne’ lieti calici”
L’image est meilleure sur :
http://concert.arte.tv/fr/concert-nouvel-an-2016-fenice-venise
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